Rectification : Veuillez noter que jusqu’au 30 septembre 2010 à la maternité de l’Étoile la messe sera célébrée tous les jours de la semaine à 07h00 sauf le lundi à 19h00.
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Rectification : Veuillez noter que jusqu’au 30 septembre 2010 à la maternité de l’Étoile la messe sera célébrée tous les jours de la semaine à 07h00 sauf le lundi à 19h00. La liberté religieuse est la « liberté des libertés » : c’est ce que rappellera le message de Benoît XVI pour la 44e Journée Mondiale de la Paix, le 1er janvier 2011, sur le thème « Liberté religieuse, chemin vers la paix ». (ZENIT.org) La période des congés d’été est arrivée et il n’y a pas eu de réunion du bureau au cours du mois de juin. Il paraît souhaitable cependant de donner quelques informations sur les activités de l’association Les Amis de Saint Hippolyte avant la reprise de septembre. → Continuer la lecture “Les Amis de saint Hippolyte (2010/2)” Le Père Thierry Gallay, curé de Puyricard et Venelles, en plus de ses charges pastorales est aussi responsable de la Commission Diocésaine d’Art Sacré (C.D.A.S). Qu’est-ce que cette commission ? Que fait-elle ? En quelques mots il nous la présente… → Continuer la lecture “La Commission Diocésaine d’Art Sacré” → France Catholique, lundi 12 juillet 2010 par Gérard Leclerc Benoît XVI est considéré, à juste titre, comme un théologien, et donc comme un intellectuel profond. Mais il est avéré aujourd’hui qu’il est aussi un homme de décision, qui sait trancher quand il le faut et procéder aux nominations nécessaires pour changer le cours des choses. → Continuer la lecture “Un pape de décision”
Gédéon 42
Messes juillet-août
Le 15 août, il y aura une messe à Couteron à 11h00
Permanences juillet-août
Permanences d’accueil :
Catéchismes
La Chesneraie
Dimanche 26 septembre : messe de rentrée en plein air réunissant les paroisses de Venelles et Puyricard au collège de la Chesneraie et journée conviviale… comme chaque année.
Gédéon 41
Les amis de Berdine
Découverte : Des paroissiens de Venelles sont engagés dans un soutien à la communauté de Berdine, qui vient notamment en aide aux personnes toxicomanes ou alcooliques. Claude Fady nous présente l’association Les Amis de Berdine. La communauté Bergerie de Berdine a été fondée en 1973 par Henri Catta, aujourd’hui décédé et par Josiane Saintpierre, qui en est toujours la responsable et l’animatrice. Installée depuis 1976 dans le hameau de Basses Courennes, sur la commune de Saint Martin de Castillon dans le Vaucluse, Berdine accueille gratuitement toute personne qui se présente à sa porte, notamment des toxicomanes, des alcooliques qui veulent “retrouver dans l’abstinence totale une santé physique et un équilibre psychologique qui leur assureront une réinsertion réussie”. La moyenne d’occupation tourne autour de 70 personnes, en majorité des hommes. Pratiquement chaque semaine il y a des arrivants et des partants. La vie communautaire et le travail sont les deux piliers de ce lieu d’accueil. La communauté est d’inspiration chrétienne, mais toutes les autres opinions, religieuses ou athées, ont le droit de s’y exprimer. Pour aider chacun à retrouver de bonnes habitudes, le règlement est assez strict, notamment la présence à la chapelle le matin et le soir, conçue comme un temps de recueillement et de méditation. D’abord centrée pendant des années sur la reconstruction de ce hameau en ruine depuis la fin de la guerre, l’activité des “berdinois” s’exerce maintenant dans différents domaines : l’agriculture, le maraîchage, les grandes cultures, l’élevage (chèvres, moutons, cochons), l’apiculture, mais aussi la boulangerie, la fromagerie, la menuiserie, la poterie… et, bien entendu, l’entretien et l’amélioration du village. Les principales ressources viennent de l’activité forestière : coupe de bois et vente de bois de chauffage aux particuliers et de la vente des produits de la ferme : légumes “bio”, fromages de chèvre, agneaux, miel. Berdine tient un stand de vente sur la place de Venelles tous les vendredis matins d’avril à octobre. En 1989, quelques Venellois, intéressés par l’expérience “Berdine”, ont créé une association “Les Amis de Berdine”, qui compte actuellement une centaine d’adhérents. Les membres les plus actifs de cette association apportent un soutien direct à la communauté, par leur compétence et par leur expérience dans les domaines les plus variés : comptabilité, informatique, assainissement, agronomie… et la cotisation de chacun des membres, complétée par une subvention de la municipalité de Venelles, vient apporter sa modeste contribution au budget de la communauté, notamment au moment des fêtes de Noël. Pour faire partie de l’association, il suffit de s’acquitter de la cotisation annuelle, fixée à 31 euros. Pour en savoir plus :
Pour les aider facilement : si vous avez l’habitude de vous faire livrer du bois, alors pourquoi ne pas choisir leur production ? Car, cerise sur le gâteau, ils vous rangeront les billots livrés. Pour commander : par téléphone (04 90 75 13 08) ou e-mail (bergeriedeberdine@orange.fr). La grotte (en provençal : baumo) de sainte Marie-Madeleine est une grotte naturelle creusée par l’érosion. Elle est dite sainte du fait que, selon la tradition de Provence, sainte Marie-Madeleine y vécut les trente dernières années de sa vie, après avoir accosté aux Saintes-Maries-de-la-Mer ou à Marseille et évangélisé la région.
La Sainte-Baume
I. Un lieu de mémoireLa (Sainte) Baume, au féminin, ne tient pas les promesses linguistiques qu’elle laissait entendre au masculin. Un baume est un onguent, l’apaisement d’une blessure infligée au corps. La Baumo, en provençal, désigne une grotte, l’excavation naturelle au flanc d’un rocher. La Sainte Baume serait alors un lieu particulier, marqué au sceau d’un sacré toujours à redécouvrir. Pour les marcheurs, randonneurs, pèlerins ou pénitents, aborder le massif de la SAINTE BAUME, c’est quitter le plat pays de St Maximin, pour atteindre en quelques minutes la fraîcheur de la forêt primitive, la solitude des chemins, la beauté des sous-bois. Aujourd’hui, la plupart des touristes ne peut ignorer, en suivant l’allée principale qui serpente sur quelque 900 mètres entre l’hôtellerie et le monastère, qu’ils abordent un vénérable lieu de mémoire : la grotte, creusée dans l’immense falaise serait justement le lieu où Marie-Madeleine, la pécheresse repentie de l’Évangile, proche du Christ et désormais proche de chacun de nous, aurait vécu les trente dernières années de sa vie, uniquement vêtue de sa longue chevelure. Un thème somptueux pour les artistes au fil des âges : la beauté devenue transparente de la femme ermite, se présentant sous la cascade ondulante de sa chevelure ! II. Portrait de Marie-MadeleinePour comprendre le chemin spirituel de la Madeleine, nous laissons la parole à l’un de ses familiers, un de ses proches qui a appris à dépasser les querelles séculaires au sujet de son arrivée, en barque à Marseille, comme à relativiser les hypothèses ésotériques récentes, suscitées par le trop célèbre “Da Vinci code”. Annick Rousseau
Marie Madeleine
Femme, pourquoi pleures-tu ?Telle qu’elle nous apparaît dans le chapitre 20 de l’Évangile selon St Jean, Marie-Madeleine est plus qu’un personnage : elle est une figure. C’est comme si chacun de nous pouvait se reconnaître en elle. Elle est la figure de l’Église, et la figure de l’Humanité. Il y a en ce matin de Pâques un parfum de nouvelle création. St Jean, généralement si soucieux de situer les événements de la vie de Jésus en fonction des fêtes juives, ou en fonction de la chronologie des jours précédents, commence à neuf « le premier jour de la semaine. » Beaucoup d’indices nous mettent sur la piste des premières pages de la Genèse : les anges, appellation « Femme » (deux fois), et surtout la sainte méprise au sujet de l’homme qui l’interpelle : « Le prenant pour le Jardinier » dit le texte. Non pas méprise, mais profonde intuition théologique ! Adam, placé par Dieu dans le Jardin pour le garder et le cultiver n’est-il pas la figure du Christ, Jardinier de nos âmes, Nouvel Adam rétablissant l’humanité dans sa condition originelle ? Dans cette perspective, Marie la Magdaléenne est l’antithèse d’Ève. Elle fait le chemin inverse de celle qui, séduite par le Diable, fut chassée du Jardin d’Eden dont l’accès resta longtemps gardé par les chérubins. Fra Angelico la dépeint dans un cadre virginal. Il y a un parfum de printemps et de vie nouvelle ! Mais en ce matin de Pâques, elle est désemparée : « il avait disparu » (Ct 5:6). « Je l’ai cherché mais ne l’ai point trouvé ! Les gardes m’ont rencontrée, ceux qui font la ronde dans la ville : avez-vous vu celui que mon cœur aime ? À peine les avais-je dépassés, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai saisi et ne le lâcherai point » (Ct 3:2-4). Mais Jésus ne veut pas être saisi ! « Je ne suis pas encore monté vers le Père, mais va trouver les frères et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père. » On pourrait dire qu’il y a une triple conversion de Marie-Madeleine : du péché à la grâce, de la mort à la vie, du monde d’ici-bas au monde à venir. Ce dernier retournement qui lui fait reconnaître son « Rabbouni » implique un renoncement à trouver Jésus ici-bas et à le saisir. Glorifié par sa résurrection, il ne se laisse appréhender que par la foi et l’amour. C’est dans l’annonce de la Bonne Nouvelle, dans la mission, qu’elle trouvera Celui que son cœur aime. Il paît son troupeau (Ct 6:3). Marie Madeleine connaît un état d’union mystique d’une telle intensité qu’elle est portée à faire de grandes choses pour Dieu, et surtout à le faire connaître et aimer. Le « avez-vous vu celui que mon cœur aime ? » n’est plus seulement le reflet d’une quête personnelle, c’est une invitation lancée à tous ceux qui sont au loin à chercher et à découvrir celui qui seul peut rassasier le cœur humain. Premier témoin de Jésus ressuscité, et figure de ce que Jésus veut accomplir à l’égard de toute âme pécheresse, Marie-Madeleine est le chef d’œuvre de la grâce, peut-être aussi un signe d’espérance donné à ceux qui peinent. Après l’annonce de la résurrection aux disciples de Jésus, et sa prière avec les Apôtres dans l’attente de l’Esprit (Ac1:14), nous perdons ses traces dans l’Écriture Sainte. La tradition la fait venir en Provence où elle est la patronne des pénitents, des prêcheurs et des mystiques. La Sainte Baume n’est-elle pas, à juste titre ce creux de rocher où, telle une colombe (Ct 2:14), Marie-Madeleine fait entendre sa voix et révèle le charme de son visage, pour ne pas dire sa figure ? Fr. Henri-Dominique de Spéville (dominicain) Encarts :
Remerciements
Merci au Frère Henri-Dominique de Spéville, O.P. pour son aimable contribution à ce “coup d’œil”, aussi bien pour le texte que pour les photos. Natif de l’Ile Maurice, lieu de soleil et de lumière, dans la fidélité à l’Ordre il a vécu avec quelques frères six années dans le Monastère accroché au flanc de la falaise : veilleurs au seuil de la Grotte, dans le froid et l’humidité, au rythme du soleil frappant ou désertant le rocher. Randonneurs et pèlerins, c’est une foule de visiteurs qui monte à la Sainte Baume. Il est possible aussi de frapper à la porte de l’hôtellerie, en contre-bas, où sont proposées un grand nombre d’activités. Les frères dominicains et Marie-Madeleine, chacun à sa place, habitent ces lieux. Annick Rousseau
Gédéon 40
Offre d’emploi
Offre d’emploi : paroisse de Venelles recherche un (e) paroissien(ne) ou deux désirant faire les bouquets pour l’église le samedi. Travail gratuit et très gratifiant, employeur divin. Veuillez contacter le Père Gallay. Merci ! Signé : Rose Marie qui souhaite s’arrêter après trop d’années passées à ce service Pendant tant d’années, chaque dimanche et les jours de fêtes aussi, Rose Marie a fleuri l’église. Ses bouquets ont toujours été faits avec soin, avec amour, pour notre plaisir et la gloire du Seigneur. Merci. ( → Les bouquets de Rose Marie au début de ce siècle) Des gazouillis d’oiseaux insouciants et heureux, Merci Seigneur pour nos deux paroisses ainsi rassemblées, F. Jamond
Gédéon 39
6 juin – Journée communautaire
DERNIER RAPPEL : Dimanche 6 juin journée communautaire de fin d’année Profitons de cette occasion pour rencontrer les paroissiens de chacun de nos villages que nous ne connaissons pas. Notre unité pastorale passe par la création de liens amicaux ! Profitons aussi du cadre magnifique du domaine de Saint-Hippolyte dont nous remercions le propriétaire et sa famille pour son accueil. Si quelques paroissiens peuvent arriver à partir de 09h00 pour aider à installer les chaises, nous les remercions de prendre contact avec : Pierre Rousset (04.42.54.00.55) Vendredi 28 mai à 20h30
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