Enfin oublier le Mont Saint MIchel des touristes, tellement aimé, tellement connu, qu’il en devient impraticable. Dans ce “pélerinage virtuel”, en quelques vues de toute beauté, à travers les pas emmêlés dans le sable détrempé, l’embrasement du ciel et l’évocation lancinante de l’eau, l’édifice semble vivre de mutations en mutations : Un clocher à l’horizon dans la brume lointaine ; un coeur qui bat au rythme de l’adoration cachée d’une fraternité de Jérusalem ; une maison enfin où s’arrêtent les pas, comme devant la Jérusalem céleste de l’Apocalypse.
Enfin oublier le Mont Saint MIchel des touristes, tellement aimé, tellement connu, qu’il en devient impraticable. Dans ce “pélerinage virtuel”, en quelques vues de toute beauté, à travers les pas emmêlés dans le sable détrempé, l’embrasement du ciel et l’évocation lancinante de l’eau, l’édifice semble vivre de mutations en mutations : Un clocher à l’horizon dans la brume lointaine ; un coeur qui bat au rythme de l’adoration cachée d’une fraternité de Jérusalem ; une maison enfin où s’arrêtent les pas, comme devant la Jérusalem céleste de l’Apocalypse.
Merci Céline pour cette belle suggestion !
Splendide!…