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Gédéon prend des vacances
À partir de ce dimanche, le journal paroissial Gédéon se met en vacances et reprendra début septembre. Il est toujours possible de consulter le site internet paroissial, ici même, pour retrouver les principales informations de l’unité pastorale.
Pour être certain de ne manquer aucune annonce inscrivez-vous.
→ Dimanche 29 juin 2014 – Gédéon n°126 ←
Paroissiens de l’Unité pastorale de Puyricard-Venelles nous sommes régulièrement informés par le bulletin paroissial et le site… certains paroissiens s’en félicitent et sont satisfaits… d’autres voudraient plus, que les sujets ne soient pas seulement locaux mais débordent sur le diocèse, la région, la France et le monde… Tout est possible, encore faut-il en avoir les moyens. Actuellement le choix a été fait, un bulletin tous les quinze jours limité à un recto-verso, un site simple, facilement accessible, essentiellement tourné vers les infos locales.
Y a-t-il une solution pour ceux qui ne trouvent pas leur bonheur dans les publications actuelles ? Bien sûr et elle est très simple, il suffit de s’abonner aux lettres d’informations que la plupart des sites offrent gratuitement… Il faut quelquefois chercher le formulaire ou le lien mais c’est une affaire de quelques instants. Le site de notre diocèse ne possède pas encore de lien pour s’inscrire aussi je vous donne l’adresse de la Lettre d’information n° 2 du 16 juin.
Si vous n’avez pu participer à la célébration de ce matin à St Hippolyte, vous trouverez ci-après le texte de l’homélie du Père Hervé Chiaverini.
Te Deum laudamus : Te Dominum confitemur. Te AEternum Patrem, omnis terra veneratur. À Toi Dieu notre louange ! Nous t’acclamons : Tu es Seigneur (Ps 64,2). À Toi Père éternel l’hymne de l’univers.
Homélie Millénaire donation St Hippolyte (Père H. Chiaverini 22 juin 2014)
Le service assurant l’accueil paroissial à Venelles a tenu sa réunion de fin d’année le 16 juin 2014. Lisez le compte rendu…
Nominations dans le diocèse → Nominations juin 2014
UNITÉ PASTORALE VENELLES – PUYRICARD
- Permanences inscriptions pour les deux paroisses
- Samedi 6 et mercredi 10 septembre de 9h00 à 12h00
- Dans les salles paroissiales
- Réunion parents
- PUYRICARD : lundi 15 septembre à 20h30 (Église)
- VENELLES : lundi 22 septembre 20h30 (Salle Paroissiale)
Cliquez pour voir l’affichette
Estivales de Berdine 2014
Samedi 14 juin 2014 de 10h00 à 23h00 Les Estivales de Berdine parrainées par Jean-Louis Trintignant
Inscription souhaitée : bergeriedeberdine@orange.fr
 Cliquez sur l’image ci-dessus pour voir les photos des ESTIVALES 2013 (Cliquez ici pour imprimer)
Affiche

Programme

« Diaporama pélerinage en Terre Sainte »
Vendredi 23 mai 2014 à 20h30
dans l’église de Venelles

PÂQUES
Il est vraiment ressuscité, pourquoi chercher parmi les morts Celui qui est vivant ?
 Anastasis – Karie Djami Istambul XIVème – Cliquer sur l’image pour l’agrandir
Samedi
JOSEPH RATZINGER LA CROIX ET L’ESPÉRANCE
Si l’on essaye de caractériser d’un mot la liturgie du Samedi Saint, ce qui frappe, c’est la paix profonde qu’elle respire. Le Christ est entré dans l’obscurité, mais, au milieu de la nuit impénétrable, il est allé rejoindre le havre de sécurité, bien plus, il est devenu lui-même notre ultime sécurité. C’est maintenant que se vérifie enfin la parole audacieuse du Psalmiste : “Même si j’allais me cacher aux enfers, tu es encore là”. Cette liturgie, à mesure qu’elle se déploie, est traversée comme de lueurs d’une aube qui approche ; les premiers rayons du matin de Pâques y brillent déjà. Si le Vendredi Saint nous présente la figure défaite de Jésus transpercé, la liturgie du Samedi Saint évoque plutôt l’image de la croix dans l’Église ancienne : la croix toute rayonnante de lumières, signe à la fois de la mort et de la résurrection.
Ainsi le Samedi Saint peut nous rappeler une forme de piété chrétienne, peut-être trop perdue de vue au cours des temps. Lorsque nous regardons la croix aujourd’hui, nous pensons presque exclusivement à la passion historique du Seigneur sur le Calvaire. En réalité, l’origine de la dévotion à la croix est tout autre : pour prier, les chrétiens se tournaient vers l’Orient en signe de leur espérance dans le Christ, le vrai Soleil qui dominera l’histoire, en signe donc de leur foi au retour du Seigneur. À l’origine, la croix était étroitement liée à cette prière dirigée vers l’Orient : la croix représente en quelque sorte l’étendard porté devant le roi à sa venue ; elle est comme la tête du cortège déjà arrivée au milieu de l’assemblée en prières. Pour les premiers chrétiens, la croix est avant tout le signe de l’espérance ; il s’agissait moins d’un regard vers un passé révolu que d’un regard en avant vers la venue du Seigneur. Sans doute, avec le temps, la nécessité d’un regard rétrospectif vers le calvaire se fit sentir. Contre toute fuite dans le spirituel, contre la négation de l’incarnation de Dieu, il fallait défendre la bouleversante prodigalité de l’amour de Dieu qui, pour l’amour de la misérable créature humaine, était devenu lui-même homme – et quel homme ! Il fallait défendre la sainte folie de Dieu qui ne s’est pas contenté de prononcer une parole de puissance, mais qui a choisi le chemin de l’impuissance pour confondre notre rêve de domination et en triompher de l’intérieur.
Mais, par là même, nous avons trop oublié le lien qui, dans la réalité chrétienne, existe entre la croix et l’espérance, entre la direction de la croix et la direction de l’Orient, entre le passé et l’avenir. Le souffle d’espérance qui court à travers les prières du Samedi Saint devrait imprégner à nouveau tout notre être chrétien. Le christianisme n’est pas seulement une religion tournée vers le passé, son regard se porte aussi en avant vers l’avenir. Sa foi est en même temps espérance, car le Christ n’est pas seulement Celui qui est mort et ressuscité, il est aussi Celui qui vient.
Fais luire, Seigneur, dans nos cœurs, ce mystère de l’espérance, fais-nous connaître la lumière qui jaillit de ta croix ; fais-nous avancer en chrétiens à la rencontre de ton aurore.
Joseph Ratzinger, Un seul Seigneur, une seule foi, p. 133-136
Vendredi
 Le portement de croix – Jérôme Bosch – Cliquer sur l’image pour l’agrandir
Homélie Pape François – Dimanche des Rameaux
Suis-je comme Pilate ? Quand je vois que la situation est difficile, est-ce que je me lave les mains, ne sais pas assumer ma responsabilité et laisse condamner – ou bien je condamne moi-même – les personnes ?
Suis-je comme cette foule qui ne savait pas bien si elle était dans une réunion religieuse, dans un procès ou dans un cirque, et qui choisit Barabbas ? Pour eux c’est la même chose : il était plus amusant d’humilier Jésus.
Suis-je comme les soldats qui frappent le Seigneur, lui crachent dessus, l’insultent, s’amusent avec l’humiliation du Seigneur ?
Suis-je comme le Cyrénéen qui rentrait du travail, fatigué, mais qui a eu la bonne volonté d’aider le Seigneur à porter la croix ?
Suis-je comme ceux qui passaient devant la Croix, et qui se moquaient de Jésus : “Il était si courageux ! Descends de la croix, pour que nous croyions en Lui!”. Se moquer de Jésus…
Suis-je comme ces femmes courageuses, et comme la Maman de Jésus, qui étaient là, et souffraient en silence ?
Suis-je comme Joseph, le disciple caché, qui porte le corps de Jésus avec amour, pour lui donner une sépulture ?
Suis-je comme les deux Marie qui restent devant le Sépulcre en pleurant, en priant ?
Suis-je comme ces chefs qui le jour suivant sont allés dire à Pilate : “Attention il a dit qu’il ressusciterait. Qu’il n’y ait pas d’autre mensonge !”, et qui bloquent la vie, bloquent le sépulcre pour défendre la doctrine, pour que la vie ne sorte pas ?
Où est mon cœur ? A laquelle de ces personnes est-ce que je ressemble ? Que cette question nous accompagne durant toute la semaine.
Pape François (Extrait de l’Homélie de ce dimanche des Rameaux)
« Découvrir son humanité avec sainte Hildegarde »
Mercredi 30 avril (17h00) au Dimanche 4 mai 2014 (14h)
Abbaye Sainte Lioba – 13109 Simiane Collongue
Le Père Pierre Dumoulin, spécialiste de Ste Hildegarde est bien connu des amis de cette Sainte. Il a publié en 2012 « Ste Hildegarde, prophète et docteur de l’Église » (Ed. Béatitudes), un ouvrage de référence traduit dans diverses langues. Il enseigne à l’Institut des Sciences et Théologie des Religions (Marseille) et au Séminaire d’Aix-en-Provence. → Programme, inscriptions
Un projet diocésain novateur au service des jeunes
Le 9 mars dernier, Mgr Dufour a envoyé en mission une équipe de 8 personnes pour « élaborer et mettre en oeuvre une nouvelle manière, audacieuse, de pratiquer la pastorale des lycéens » à travers le projet de la Maison des lycéens à Aix. Un projet qui répond à l’une des deux orientations pastorales majeures de Mgr Dufour : « L’attention aux jeunes ».
La Maison des lycéens – L’affiche
Le dimanche 16 février à la messe de 10h30 à Venelles (messe du catéchisme), célébrée par le père Thierry, nous avons eu la joie d’accueillir 3 enfants qui se préparent au baptême, pour la 1ère étape de ce chemin catéchuménal avec remise de la croix (rite de la « Signation »). Ils étaient entourés de leur famille, de leur catéchiste, des camarades de leur groupe et de la communauté paroissiale.
Cette célébration accueillait aussi des fiancés qui se préparent au mariage, préparation assurée par les prêtres et des équipes de laïcs.
Des scouts étaient présents aussi. Notre église était bien pleine, Bernard à la guitare, Chantal pour l’animation des chants et les servants d’autel avec Olivier.
D’un même cœur, d’une même foi rendons grâce à Dieu pour ces « événements » qui animent nos paroisses.
Renée MAHÉ
On a déjà beaucoup écrit sur ce nouvel ouvrage du Père Zanotti-Sorkine, paru en janvier 2014, aux éditions Robert Laffont sous le beau titre : « Le Passeur de Dieu ». Les critiques sont très favorables et s’accordent pour éviter, dans leurs colonnes, les questions qui fâchent, les réticences qui en diminueraient la portée. Du genre : « Est-ce aux prêtres d’écrire un roman ? Pourquoi ? N’ont-ils pas autre chose à faire dans l’Église que d’écrire ou de chanter (cf. “Les Prêtres” ) ce que d’autres font très bien ? Pas un mot non plus sur le style du livre, sur cette familiarité un peu recherchée, un peu désuète avec le passé antérieur ou l’imparfait du subjonctif… que l’on eût appréciée hier à sa juste valeur.
→ Continuer la lecture “Coup d’œil sur… Le Passeur de Dieu”
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