Le Père Hervé Chiaverini vient de prendre ses nouvelles fonctions de vicaire pour nos paroisses de Puyricard et Venelles. Il vous remercie de l’accueil reçu et dans les quelques lignes qui suivent… il se présente.
On m’a proposé d’écrire quelques mots pour « Gédéon », ce que je fais volontiers. Pour me présenter d’abord : né en 1965 en Allemagne, au hasard d’une garnison de papa, j’ai grandi à Marseille, où j’ai passé mes “années-collège” et mes “années-lycée”. C’est dans le scoutisme et l’aumônerie de l’enseignement public qu’a résonné l’appel du Seigneur, au Carmel d’abord, puis au sacerdoce. Après un Deug de droit, commencé à Marseille et fini à Lille, et la formation aux séminaires d’Aix et Notre Dame de Vie (dont je suis membre, comme le Père Michel Girard), j’ai été ordonné diacre puis prêtre en 1993.
La première page de mon service comme prêtre a été d’être vicaire de paroisse et aumônier scolaire et scout à Istres, Martigues et Trets (1993-2000). La seconde page a été de travailler pour les regroupements de paroisses comme curé dans la Haute Vallée de l’Arc puis dans la Vallée des Baux (2000-2011). La troisième page commence parmi vous comme chancelier de l’Archevêque et vicaire pour Venelles et Puyricard. Vous savez déjà que notre Évêque m’a demandé de terminer (bien, si possible) des études de droit canonique à Lyon, où je serai la moitié de la semaine. J’ai, par ailleurs, un service pastoral dans le scoutisme d’Europe et l’Ordre de Malte.
Puyricard m’était déjà connu grâce à ses chocolats et sa maternité, où le séminaire d’Aix venait volontiers bénéficier de l’accueil de nos sœurs de l’Étoile. Venelles a d’abord évoqué pour moi une déviation d’autoroute, attendue puis réalisée, avant que je n’y vienne visiter un de mes anciens curés, le P. Claude Laroche. Je n’ignore pas les débats qui ont accompagné mon envoi en mission parmi vous et, pour dire la vérité, j’en ai, comme notre curé, partagé les questions. L’heure n’est maintenant plus aux discussions mais au service de l’Évangile, de son annonce auprès de nos contemporains, de nos jeunes. Merci pour votre accueil fraternel, dès mon arrivée parmi vous.
P. Hervé Chiaverini+
BONJOUR,
J’espère que les voix d’internet me permettent de communiquer avec vous P. Hervé Chiaverini.
Cela me fait joie de vous savoir en bonne santé et semble-t-il pas si loin, de Trets.
C’est Elisabeth Baille.
Confirmez moi que je puisse vous écrite encore quelques lignes. Merci